lundi 26 mai au dimanche 1 juin

Entre la fin du circuit de Lorraine et le GP de Plumelec de samedi j'avais donc 5 jours d'entraînement à planifier. Au lieu de multiplier les petites sorties qui ne servent à rien j'ai décidé de ne faire qu'une grosse sortie de 200 kilomètres le mercredi. Le temps de bien récupérer et nous voilà déjà au départ du GP de Plumelec.

S31/05: Grand Prix de Plumelec (coupe de France)

Course de mouvement très difficile à gérer. On peut se faire piéger à tout moment. La première partie de course se passe bien pour moi puisque je parviens à me maintenir aux avants-poste alors qu'il ne reste plus que 40 coureurs dans le peloton.
Mais je rate le coup décisif de 15 coureurs. Derrière tout le monde jouait pour sa pomme, aucune équipe n'ayant intérêt à forcer un regroupement.
A 4 kilomètres de l'arrivée, après de nombreuses tentatives, je parvenais enfin à m'isoler en poursuite des hommes de tête mais l'écart était trop important pour espérer rentrer.
Je terminais donc 18ème (comme à Paris-Camembert et au Finistère) à 1 minute du premier mais juste derrière le reste du groupe de tête.
J'ai un peu les boules, je me sens fort (au moins autant que l'année dernière quand j'avais gagné au Finistère) mais soit je cours mal, soit j'ai pas de chance.

D1/06: GP de Chateaulin (1.1)

Je comptais sur cette course pour effacer la déception de la veille. Je sautais dans les échappées dès le début de course, sans grand succès. Finalement un coup est parti sans moi, a pris 1 minute, mais Bouygue a mis en route et tout s'est regroupé. A ce moment là j'ai attaqué avec Arnold Jeannesson et sous notre impulsion un groupe de 20 coureurs a pris le large. Derrière le peloton s'est tout de même vite remis en route et un regroupement général s'est fait dans une descente au moment où il commençait à pleuvoir. J'ai retrogradé assez vite sur cette route sinueuse et glissante et je n'ai plus jamais revu le devant de la course.

bilan de cette semaine: il me manque la réussite, je vais essayé de me maintenir en forme pour le jour où cela voudra bien sourire